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L'historique de l'AOC

AOC Saint-James, club familial depuis 1999

A son origine, le club s’appelait La Patriote Saint-Jamaise et regroupait plusieurs activités, dont le basket. C’est en 1999 que le club prend le nom de l’AOC Saint-James, sous la présidence de Jean-Michel Orange. Le club ne comptait alors qu’une petite dizaine de licenciés.

Petit à petit, le club se développe. Patrick Bray est embauché en tant qu’entraîneur et le nombre de licenciés augmente d’année en année.

Bien que localisé dans la Manche, nous sommes géographiquement plus proche des clubs d’Ille-et-Vilaine. Après notre demande, les comités de ces deux départements accepte de nous laisser évoluer dans les championnats d’Ille-et-Vilaine.

En 2007, Jean-Michel laisse sa place de Président de l’AOC Saint-James à Bertrand Panassié. Le club compte alors une soixantaine de licenciés. La barre des 100 licenciés est franchie lors de la saison 2011-2012 grâce notamment à un rapprochement avec les écoles du secteur. Deux ans plus tard, 120 licenciés formaient 11 équipes et les U15F et U17F évoluaient en Pré-Région.

Pour la saison 2014-2015, nous comptions 130 licenciés répartis en 13 équipes dont une en Pré-Région : nos U17F. Lors de cette année, l’AOC Saint-James et le Romagné Basket Club s’organisent en entente sur 5 équipes. Cette entente a pour but d’offrir la possibilité à un maximum de licenciés de pouvoir jouer.

En plus de ces équipes en entente, Saint-James et Romagné organisent ensemble les différentes manifestations pour nos jeunes qui ponctuent l’année (Halloween, Noël, Carnaval et Pâques) ainsi que les stages des U13, U15 et U17.

A la fin de la saison 2015-2016, Patrick Bray quitte le club pour de nouveaux horizons après de nombreuses années au service de l’AOC Saint-James.

Parmi notre centaine de licenciés, nous comptons également un arbitre officiel.

A chacun son Basket

Pour le plaisir de tous

Un club à la dimension de chacun

Nous apportons beaucoup d’attention à notre école de Baby Basket. En effet, nous souhaitons que les jeunes enfants de Saint-James et ses environs soient l’ossature de nos équipes de demain et du club. Nous mettons donc beaucoup d’efforts dans l’école de Baby Basket afin de leur donner le goût du basket, du partage et de la vie d’association, et de faire d’eux nos futurs joueurs, encadrants et dirigeants.

Dans cette optique de club local formateur, la participation des parents est indispensable au bon fonctionnement du club et à l’épanouissement de tous nos jeunes. C’est cette collaboration entre jeunes, parents et encadrants qui assurera la réussite du club et le bien-être de chacun au sein du club.

Notre projet pédagogique

Tout notre projet s’appuie sur l’école de Mini-Basket, comme expliqué ci-dessus. C’est la base de notre club pour les années à venir, le premier lieu où nous affirmons nos choix, aussi bien techniques que pédagogiques, au travers d’une initiation ludique et permanente.

Nos entraîneurs ont pour mission d’inculquer les valeurs de partage, de générosité et de fair-play, et cherche à enseigner à nos jeunes les compétences et connaissances sportives pour leur permettre de s’épanouir dans le jeu et dans la vie.

La qualité des séances nécessite un engagement et un enthousiasme de chacun (joueurs, encadrants et parents).

La charte du bon supporter

Pour mettre l’ambiance à la salle !

On aime

  • les encouragements de vrai supporteur pendant les matchs,
  • que les supporters applaudissent leur équipe lors d’une belle action ou d’un beau geste,
  • votre réconfort après une défaite,
  • que vous restiez calme même si l’on perd,
  • que vous continuez à nous encourager si notre équipe fait une erreur,
  • que vous soyez positif à la sortie des matchs.

Le supporteur respecte les dirigeants, les entraîneurs, les joueurs, le club et les arbitres car ils partagent tous la même passion et ils participent activement à la réussite générale.

On n’aime pas

  • que les supporters disent de gros mots si forts que les joueurs les entendent depuis le terrain,
  • que les supporters disent des choses méchantes à l’équipe adverse et à l’arbitre,
  • que les supporters se disputent avec les supporters adverses,
  • que les parents-supporters crient sur leur enfant quand il fait une erreur,
  • que les supporters entrent sur le terrain pendant le match,
  • que les supporters s’énervent si leur équipe perd,
  • que les supporters râlent si l’adversaire a trop de point d’avance,
  • que les supporters disent à l’entraîneur ce qu’il doit faire,
  • que les supporters crient et accusent l’arbitre si leur équipe perd un match.

Amis, parents, supporteurs, laissez-nous jouer et soyez nos meilleurs supporteurs.

Lettre d’Alain Stein aux parents de joueur

Alain Stein, préparateur physique de renommée mondiale

Parents,

A la fois entraîneur et père, je tiens à offrir mes 16 règles pour Parents de jeunes Basketteurs.

Parents… Vous devez accepter le fait que ce soit le parcours de votre enfant, pas le vôtre. Ne le vivez pas par procuration à travers eux. Mettez votre attention sur le fait d’être un parent positif et encourageant.

Parents… Il est vrai. Les entraîneurs ont des favoris. Ils favorisent les joueurs qui donnent à l’équipe la meilleure chance de gagner, qui ont de bonnes attitudes, qui travaillent dur tous les jours, qui comprennent leur rôle (quelque soit l’importance de leur rôle). Si vous pensez qu’un entraîneur « n’aime pas » votre enfant; votre enfant a certainement une carence dans un (ou plusieurs) de ces domaines.

Parents… Plus on avance dans le match, plus les entraîneurs veulent gagner. Autant que possible, ils veulent gagner. Si votre enfant les aide à gagner … ils vont jouer. Si non … ils ne joueront pas.

Parents… Le plus souvent, l’entraîneur de votre enfant est dans une meilleure position pour évaluer et déterminer le temps de jeu approprié, car il voit tout. Il voit les séances d’entraînement, les matchs, le déroulement du match (alors que la plupart des parents obtiennent une image incomplète parce qu’ils voient seulement les matchs).

Parents… Le plus souvent, grâce à leur expérience et leur formation professionnelle, les entraîneurs ont généralement un meilleur QI Basket et une meilleure compréhension générale du jeu que les parents (donc interroger un entraîneur sur les stratégies offensives et défensives ou leur capacité à juger le talent est inapproprié).

Parents… Arrêtez de coacher votre enfant depuis la ligne de touche. La seule «voix» depuis laquelle un joueur doit recevoir des instructions est la «voix» de leur entraîneur. Encouragez-les pour tout ce que vous voulez, mais ne les coachez pas. Ça n’est pas votre travail.

Parents… Vous aimez votre enfant plus que tout au monde. Vous voulez toujours ce qui est le mieux pour lui (ce qui est compréhensible et respectable). Toutefois, l’obligation d’un entraîneur est de faire ce qui est mieux pour l’équipe. Dans de nombreux cas, ce que vous voulez pour votre enfant et ce qui est le meilleur pour l’équipe ne sont pas convergents.

Parents… Il ne faut jamais discuter du temps de jeu, stratégie ou des choix concernant un autre joueur avec l’entraîneur de votre enfant. Jamais. Ces trois domaines sont une terre sacrée.

Parents… La politique politicienne ne donnera jamais du temps de jeu à votre enfant. Je vous promets, cette déclaration n’a jamais été dite par un entraîneur dans l’histoire du basketball, « Je dois vraiment faire jouer Jeffrey plus parce que sa mère pense qu’il ne joue pas assez. »

Parents… Vous devriez encourager votre enfant à communiquer tous les problèmes, questions ou préoccupations qu’il a (ou vous avez) directement avec leur entraîneur en l’incitant à planifier une réunion. Dans ma conviction, en tant que parent, vous avez le droit d’assister à cette réunion, comme un simple observateur, mais la discussion doit se situer entre votre enfant et l’entraîneur.

Parents… Ne critiquez pas l’entraîneur de votre enfant en voiture pendant le trajet de retour à la maison ou à table lors du dîner. Les commentaires agressifs subtils et passifs comme « Ton entraîneur ne sait pas ce qu’il fait ! » ou « Je ne peux pas croire que tu ne joues pas plus ! » ne conforte pas votre enfant (même si je suis sûr que c’est votre intention) – Cela leur permet d’avoir une mauvaise attitude et de trouver des excuses … les deux sont inacceptables.

Parents… Si votre enfant ne reçoit pas le temps de jeu qu’il pense mériter ou s’il perd un match difficile… utilisez cette expérience comme un puissant outil d’enseignement. Apprenez-leur à s’en servir. Enseignez-lui ce qu’il peut faire à l’avenir pour éventuellement obtenir un résultat différent.

Parents… Arrêtez de réprimander les arbitres. Cela donne un mauvais exemple et vous donne l’air stupide. Les arbitres font du mieux qu’ils peuvent. Dans la plupart des cas, l’arbitre est mieux placé et possède une meilleure connaissance des règles pour donner un meilleur coup de sifflet qu’un parent ne l’aurait fait. Et je vous promets que cette déclaration n’a jamais été dite non plus « Pouvons-nous arrêter le jeu? Je suis désolé tout le monde. La maman grande gueule dans les tribunes a raison, quelqu’un a bel et bien fait faute sur son fils lors la dernière action ».

Parents… Il est très peu probable que votre enfant devienne un joueur professionnel. En fait, statistiquement, seulement un très petit pourcentage d’entre vous ont des enfants qui joueront dans un Centre de Formation. Alors laissez-les profiter de leur parcours. Ils arrêteront de jouer au basket bien avant que vous n’y pensiez. Utilisez le basketball comme un moyen pour enseigner les leçons de vie dont ils auront besoin quand ils grandiront.

Parents… Ne poussez pas votre enfant trop dur. OK pour encourager. OK pour suggérer. OK pour maintenir votre enfant à un très haut niveau d’excellence … mais ne les obligez pas à faire des «tirs supplémentaires» ou faire des séances d’entraînement supplémentaires. Cela doit venir d’eux, pas de vous. S’ils choisissent de faire ces choses de leur propre initiative, soutenez-les. S’ils ne le font pas, s’ils choisissent de ne faire que le strict minimum, ils finiront par apprendre une puissante leçon de vie (pas faire partie de l’équipe, pas de temps de jeu supplémentaire, etc.).

Parents… Une des meilleures choses que vous pouvez faire est de développer une relation de qualité avec l’entraîneur de votre enfant.

J’espère que ce billet n’a pas été trop dur ou condescendant – ce qui n’était certainement pas mon intention -. Je voulais simplement partager quelques réflexions constructives pour aider les parents à profiter pleinement de l’expérience d’avoir un enfant qui joue au basketball.

Profitez de votre expérience de parents…

Article du 10 décembre 2013, traduit par Vincent Chetail.

Les 10 commandements du licencié

Prendre une licence de basket ouvre des droits comme participer aux entraînements et aux matchs organisés par le club et la fédération. Cependant, ses droits s’accompagnent de devoirs afin de participer au bon fonctionnement du club. Nous appellerons ces devoirs les « 10 commandements du licencié » :

1. A l’heure, j’arrive. Les retards perturbent le bon déroulement des entraînements et nuisent à mon équipe. Il peut arriver parfois d’être en retard mais dans ces cas-là, je dois prévenir de ce retard et m’excuser auprès de mon équipe et de mon entraîneur. Si les retards sont trop souvent répétés, des sanctions peuvent être appliquées.

2. A l’entraînement, je suis présent. Mes absences à l’entraînement m’empêchent de progresser et pénalise le collectif de mon équipe. Les absences non prévenues à l’entraînement pourront avoir pour conséquence de ne pas être convoqué au match du week-end. Lorsque je suis absent à un entraînement, je me dois de prévenir mon entraîneur.

3. Aux matches, je participe. Mon absence aux matches handicape mes coéquipiers, mon équipe et mon club. En prenant ma licence, je me suis engagé à participer à toutes les compétitions. Le basket étant un sport d’équipe, je me dois d’être présent à tous les matches.

4. Poli, je suis. Je me dois de dire « Bonjour » et « Au revoir » à mon entraîneur, mes dirigeants et mes coéquipiers.

5. Le matériel, je range. Le matériel est sorti et rangé par les joueurs. Les joueurs ne doivent pas quitter la salle tant que le matériel (ballons, plots, maillots, paniers…) n’est pas rangé correctement.

6. Le matériel, je respecte. Je prends soin du matériel. Je ne m’assoie pas sur les ballons. Je ne tire par au pied dedans. Je ne me suspends pas aux paniers. Pendant les matches, je respecte mon banc et mon vestiaire, et les laisse propre lorsque je repars.

7. Les règles d’hygiène, je respecte. Je m’engage à respecter les règles d’hygiène et de sécurité propres à la vie en collectivité.

8. Acteur de mon club, je suis. Le joueur de basket a des droits mais également des devoirs. Il se doit de venir aider lors de la tenue des matches autre que ceux de son équipe pour arbitrer ou encore tenir la table de marque. Sans arbitre sur le terrain et à la table, les matches ne peuvent avoir lieu. Si je veux jouer, je dois donc permettre aux autres équipes de mon club de jouer. Je suis acteur plutôt que simple consommateur de basket.

9. Quelques déplacements, mes proches effectuent. Les déplacements lors des matches à l’extérieur ne peuvent pas être pris en charge par le club. Pour permettre à nos équipes de jouer à l’extérieur, les licenciés et/ou leurs parents s’engagent à effectuer les quelques déplacements inscrits sur le planning de leur équipe.

10. Les manquements graves, je ne ferai pas. Tout problème de violence physique ou verbale, de vol, de triche, d’alcool, de drogue ou tout autre manquement grave au règlement intérieur provoquera la réunion du Bureau afin de statuer sur la situation.

Ces 10 commandements se veulent le symbole de l’esprit sportif qui doit animer tous les membres de l’AOC Saint-James Basket. Chacun doit en conséquence les respecter.

La charte des parents

Ayez vis-à-vis de votre enfant une attitude positive.
Laissez-les jouer !

  • Accompagner le plus souvent possible mon enfant
  • S’assurer que mon assurance couvre les enfants que je transporte, lors des covoiturages
  • Rester en retrait pendant l’activité
  • Veiller à l’assiduité et à la ponctualité de mon enfant
  • S’assurer physiquement de la présence des éducateurs sur le lieu d’entrainement ou de match
  • Prévenir en cas d’absence (l’éducateur, le coach)
  • Récupérer mon enfant à l’heure
  • Aider et soutenir l’éducateur, le club et le coach
  • Se mettre à disposition des dirigeants en cas de force majeure
  • Etre garant de l’esprit sportif, du fair-play, de la convivialité qui caractérisent notre Club
  • Etre de bons spectateurs et de bons supporteurs
  • Soutenir l’enfant et ses équipiers
  • S’interdire et bannir toutes formes de violence
  • Respecter le corps arbitral
  • Applaudir votre équipe mais également l’équipe adverse
  • Considérer le sport comme un complément d’éducation, de formation et d’épanouissement pour votre enfant
  • Considérer les entraînements et les matchs comme un moyen d’apprentissage pour votre enfant
  • Garder toujours à l’esprit que le sport est à la fois un plaisir et un jeu
  • Aller le (la) voir jouer
  • Soutenir son équipe
  • Respecter les choix tactiques du Coach
  • Laisser son éducateur sportif diriger
  • Je consulte le site du club pour me tenir au courant des événements de la vie du Club

Champion peut-être, fair-play toujours !

Et content de jouer avec les copains

Si tu es capable d’accepter les règles du jeu et les décisions de l’arbitre sans contester, si tu es capable de te contrôler sur le terrain et en dehors, si tu admets la défaite et que tu l’utilise pour progresser, si tu admets que le victoire passe aussi par le respect de l’adversaire, si tu es capable de faire preuve de persévérance et d’exigence envers toi-même sans tricher, si tu admets que le sport c’est avant tout se mesurer à ses propres capacités, alors, Champion ou pas, tu seras tout de même un vrai sportif !